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Education française pour la petite Ying-Ying – Partie 2

Une fois entrés à l’appartement, nous nous regardons. J’indique à mon invité de garder silence. J’appelle ma cousine au cas où, mais je sais qu’elle n’est pas là à cette heure.

 

Oh malheur! Les vêtements sèchent, j’avais oublié! Et la lingerie de ma cousine qui pend… j’ai honte. Mais Fabrice sourit. Un sourire coquin qui me rend toute chose. Il me demande si c’est à moi. Je bredouille que oui, mais ce n’est pas vrai… ils sont à ma cousine, puis je me rattrape en disant qu’on se les prête. Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire.

 

Il me demande si je veux bien les porter pour voir :« Je suis sûr que cet ensemble de te va très bien ». Je n’ose pas. Je suis gênée… mais l’idée me plait. Je lui réponds : « ah oui? Tu me trouverai magnifique dedans? » (j’ai du mal à prononcer le mot).

 

Il éclate de rire puis me propose de m’aider à me dévêtir. Oh non! C’est trop !

 

Je lui rétorque que je veux bien porter l’ensemble mais que je me dévêtirai seule. Je suis trop timide…

 

Je me change difficilement, mes mains tremblent. Ma respiration est difficile. J’ai si chaud… C’est de la folie… Je ne devrai pas… C’est un étranger! Je ne suis jamais allée aussi loin avec un homme. C’est insensé, mais je le fais quand même. Que m’arrive-t-il ?

 

J’ai du mal avec le soutien gorge… mais avec quelques contorsions, je finis par y arriver.

 

Je retourne le voir, toute penaude, je me sens mal à l’aise, stupide, ridicule… j’ai envie de m’enfuir, mais en même temps de rester…

 

Il me sourit : « Je confirme, tu es magnifique! Tournes-toi un peu. Que tu es belle! On te l’a jamais dit? », je rougis, je baisse la tête.

 

Il s’approche de moi doucement. Tend le bras. Me caresse le visage. C’est si agréable! Il est si doux, si tendre. Je penche la tête pour profiter de sa large main. Il s’approche davantage jusque’ à ce qu’on soit collé l’un à l’autre. Je sens son entre-jambes gonfler. Je ne peux pas m’empêcher de me coller contre lui davantage. De me blottir. Il me prend dans ses bras . Nous restons longtemps ainsi. C’est si délicieux. Il me caresse lentement. Le cou, le dos, il descend ses mains vers mes fesses… il ne peut pas descendre plus (je suis si petite et menue par rapport à lui, il est si grand!). il me caresse ainsi longtemps. C’est si bon. Il me prend le visage des mains et m’embrasse langoureusement. Un baiser plus fort et plus intense que tout à l’heure.

 

Nos langues s’entremêlent, je ne pouvais imaginer telle extase. Mon corps tremble, je vacille presque. Mais il me porte de toute sa taille, de tout son désir.

 

Son entre jambes grossit encore. Il a l’air énorme! J’en chancèle rien que d’y penser.

 

Il me retourne, je suis dos à lui. Il se colle à moi. Je sens son pénis sur mes fesses. Ses mains me caressent de haut en bas, du cou, des seins, du ventre jusqu’à mon intimité. Après plusieurs va et vient le long de mon corps, il entre sa main dans mon string et me caresse le petit bouton. Que c’est bon! Il y va doucement. J’ai peur. Je n’ai jamais été touchée par un homme. Qu’il n’aille pas trop vite pitié! Mais c’est comme s’il lisait en moi. Il y va tout en douceur, un homme expérimenté. En tout cas, il s’y connait… Mais il doit souvent faire ça avec des filles alors?! Mais ces pensées sont vite oubliées. Sa main sur ma peau, l’autre dans ma culotte.

 

Il m’embrasse le cou, comme s’il voulait me mordre. Il me sert de l’autre main, un sein. Une poigne ferme mais douce. Je sens qu’il me dégrafe mon soutien gorge.

 

Il me retourne de nouveau face à lui, murmure à nouveau « magnifique » et observe ma petite poitrine longuement. Je me colle à lui spontanément. Cherche ses lèvres. J’ignore ce qu’il me prend d’être aussi entreprenante.

 

Puis…

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