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Tribulations d’une dévergondée – Partie 3

Mais il est temps de quitter l’ascenseur, lieu peu propice à toutes les humeurs et fantaisies. Nous le quittons pour rejoindre l’appartement.

 

Le lieu est assez grand, de décoration classique sans être démodé. L’ordre y est relatif, manifestement un homme célibataire. La lumière y est chaude, tamisée. Le salon est suffisamment grand pour accueillir une dizaine de personnes.

 

« Attends une seconde » me dit-il. Il revient avec une grosse boite et Ô bonheur, il est rempli d’accessoires en tout genre : godes, plug, gode ceinture, de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Je savais qu’il était obsédé de sexe, je l’avais senti.

 

Nous n’attendons pas longtemps pour nous déshabiller. Sans préambule, il me tire les cheveux et recommence à me baiser, à m’enculer, en alternant. Après un temps interminable et délicieux, il se décide à me baiser avec un gode assez gros pendant qu’il me sodomise. Prise en double, je ne tiens plus et pour la première fois depuis le début de notre rencontre je me laisse faire et lui donne l’initiative….

 

Il devance mes désirs les plus inavouables.

 

Ensuite, il m’attache avec célérité. J’attends, heureuse et à sa merci, la suite des évènements.

 

Quelqu’un sonne à la porte. Mon amant d’une heure va ouvrir sans demander son reste. Je suis surprise, nous sommes en pleine action, pourquoi ne se rhabille-t-il pas avant de lui ouvrir? Un deuxième homme entre. Un deuxième homme parfaitement au courant de la situation. Manifestement un ami proche. Quand a-t-il eu le temps de l’appeler? Au moment de chercher la boite à godes sûrement. Oh qu’importe! Les deux me sourient d’un air canaille et je suis très excitée.

 

L’homme est trapus. Il est brun de type méditerranéen. Ses yeux sont d’un marron profond et on y devine un esprit particulièrement canaille. Son visage est ovale, un nez fort, des lèvres charnus. Ses épaules sont fortes, son torse musclé et légèrement velu. Il est l’antithèse de mon amant blond. Ce contraste me ravit.

 

Il dégrafe très vite son pantalon et me tend sa verge. Cette dernière est parfaite, de quoi bien élargir ma mâchoire et m’étouffer jusqu’à la glotte. Il me prend la tête violemment et me la plante dans la bouche. Il m’impose son va-et-vient, sa main sur ma tête, puis s’allonge sur le dos. Me voilà à quatre pattes et mon premier ami s’empresse de me sodomiser profondément de son côté. J’en hurle.

 

Mais je n’en ai pas assez, j’en veux plus. Je suce goulûment le deuxième, encore et toujours, lui recouvre la verge de salive. Mon premier amant, se retire, regarde son ami puis s’adresse à moi :

« Une double pénétration, ça te dit? »

– Oh oui! Je ne demande que ça! »

 

Toujours au sol, le deuxième luron me soulève et place son pénis dans mon siège des plaisirs, l’autre se replace et se fourre dans mon cul élargi . Les deux, à l’unisson, s’agitent en va-et-vient de plus en plus rapides. Je les sens bouger en moi. J’atteins alors un niveau de plaisir paroxysmique. Je ne sais plus si je hurle ou non. J’oublie où je suis. Ils me prennent si fort et je me sens si salope. Il ne manque plus qu’un troisième, un quatrième homme voire plus, je ne peux plus, je ne veux plus m’arrêter.

« Ahhhhhhhh, avez-vous d’autres amis? » dis-je haletante.

– Tu n’es pas croyable, tu en veux encore plus? dit le grand blond.

– C’est une très bonne idée, elle n’en a pas encore assez. Dans ce cas oui, je peux peut-être ramener des amis à moi. »

 

J’attends avec impatience que d’autres viennent se mêler à notre petite sauterie.

 

Mes deux compagnons, épuisés par leurs exploits, succombent à la fatigue. Je souris intérieurement. Je fais toujours cet effet là à mes amants de passage. Pour ma part, je ne suis nullement fatiguée. Je n’ai consommé que les hors-d’œuvres, j’attends le plat de résistance.

 

Une demi heure… une heure… J’attends. Le temps défile, il se fait tard et je me résous à partir sans avoir été rassasiée. Mais soudain, la sonnette résonne. Mon premier amant va ouvrir. Un homme entre, puis, deux, puis trois. En tout sept hommes ont été conviés à notre petite fête improvisée. Je suis aux anges. Neuf hommes rien que pour moi. Je vais bien dormir cette nuit.

 

Les présentations sont inutiles pour eux comme pour moi. Ils sont de toutes origines, de toutes tailles, j’ai devant moi un petit échantillon d’humanité. Je me sens baiser le monde entier aujourd’hui.

 

« Qu’attendez-vous? Je suis prête. »

 

Étonnés par tant d’impatience, il leur a fallu quelques secondes pour sortir leurs pénis du pantalon. Je m’empresse d’en avaler un. Les autres se rapprochent de moi. Je suis entourée de verges turgescentes, et rien ne me rend plus salope que d’être désirée de la sorte. Autant de bites pour moi, offertes, tendues, n’attendant que ma bouche, mon sexe, mon cul. J’exalte de bonheur et d’excitation.

 

Je suce avec allégresse et énergie, je passe de l’un à l’autre, peut être un peu trop vite pour qu’ils aient du plaisir, mais qu’importe, j’ai faim. J’entends leurs souffles haletants et je mets encore plus d’ardeur avec de longs va-et-vient. Parfois, je lèche leurs pénis de tout le long pour ensuite cracher dessus. Mes mains ne sont pas en reste. Je m’applique à les branler des deux mains. Je les branle consciencieusement, ni trop vite, ni trop lentement, d’une fermeté contrôlée comme je sais si bien le faire.

 

Mon intimité est trempée et je n’attends qu’une chose : c’est qu’on me comble. Mais en attendant, j’ai neuf verges à satisfaire de ma bouche. Je ne suis plus qu’une bouche. Mon esprit ne s’attache plus qu’à une chose, remplir cet orifice de cette chair dure. De temps en temps, cette bouche s’attache à avaler autre chose : des testicules douces et tendres que je gobe avec délectation. Le temps apparaît infini. Et enfin arrive la délivrance : le premier jet, blanc, liquoreux, m’explose à la figure; puis un deuxième. Puis tous m’aspergent de foutre chaud. Un délice !

 

Presque évanouie, me voilà affalée sur le sol, ivre de plaisir. J’ignore ce qu’il se passe autour de moi et ne m’en soucis pas. Des bruits de pas, des conversations presque des chuchotements : « c’était bien », « tu as vu ça » « je n’en, peux plus » .Je les entends également se rhabiller. Je ne veux pas bouger, j’ai encore des spasmes de mes orgasmes. Une belle soirée.

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