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Tribulations d’une dévergondée – Partie 2

« – Attends! Tu ne m’as pas répondu.

– Pas répondu? bredouille-t-il.

– Tu te serais souvenu de quoi ? De mes seins ou de mon cul ?

– De votre cul… dit-il spontanément, puis il détourne la tête.

– Alors profites-en!

– Quoi ? « 

 

Il n’en croie pas ses oreilles. Une inconnue (moi) l’aborde, et quelques minutes plus tard, s’offre à lui spontanément. Les nymphomanes sont rares. Quelle agréable surprise pour lui !

 

Je me retourne, je me cambre, lui tends ma croupe avant de me frotter contre lui. N’importe qui pourrait nous voir mais cela m’est égal, je suis très excitée et j’ai faim de bite. Un petit objet sexuel n’est pas de trop.

 

Je continue de me frotter contre lui et petit à petit je sens sa verge durcir. Il n’a pas mis longtemps à réagir.

 

Je suis toute en sueur, une calamité, mais mon désir est trop grand. Qu’importe, cela n’a pas l’air de laisser ce cher inconnu refoulé indifférent.

 

Je me sens chienne. Je le colle au mur et commence à balader ma main sur son entre-jambes, je sens son pénis durcir. Je me décide à l’embrasser, je l’explore en profondeur. J’enlève ma veste, sens ma propre odeur et continue de goûter sa salive.

 

Je soulève ma jupe, et me fourre un doigt dans l’anus. Il n’attend pas, il me baise profondément par à-coup violents et rapides. Je me contracte à chaque va-et-vient. J’en veux plus. Je lui fais signe d’accentuer le rythme. Ce jouet sexuel devra me faire jouir. L’excitation de se faire surprendre par un quidam est à son comble.

 

Je lui prends les fesses des deux mains. Il ne va pas assez vite ! Plus vite, plus fort bon dieu !

 

« Vas-y ! Vas-y! Prends moi plus fort et plus vite. Ne t’arrêtes pas » crie-je presque.

 

Par à-coup, de plus en plus fort et plus rapidement, il m’enfonce sa bite dans mon sexe brûlant. Je sue un peu plus mais lui aussi.

 

Il continue de plus belle mais… j’entends arriver quelqu’un. Mince! En pleine action! Cela n’a duré que quelques minutes. Nous n’avons pas fini… J’en veux tellement plus… Je veux sa bite en pleine bouche, lui cracher dessus, lui baver dessus en le regardant fixement dans les yeux. Mais il faut se calmer pour l’instant.

 

« Chez toi ou chez moi ?

– Chez moi » dit-il, j’habite à deux pas d’ici. »

 

Je le suis, mon sexe trempé. Excitée et je n’espère dans l’instant qu’une seule chose : sa verge dans tous mes orifices.

 

Après quelques centaines de mètres interminables, nous arrivons à la porte de son immeuble. Nous entrons. Je ne tiens plus. Je bloque l’ascenseur, me mets à genoux, déboutonne son pantalon et commence à le gober, le branlant d’une main et me branlant de l’autre…

 

Puis, je lui fourre un doigt dans l’orifice arrière. Il apprécie. Après un doigt, je lui en mets deux puis trois. Je lui dis brusquement :

« Mets-toi à quatre pattes »

 

Il s’exécute et met son cul bien en évidence, une bite bandante et un trou accueillant.

 

D’un air coquin et mutin, j’ajoute : « il est temps qu’on s’occupe de ce petit cul non? »

 

« Oh oui! » répond-il.

 

J’approche mon visage de son orifice béant et l’élargit un peu plus avec mes mains sur ses fesses. Il me fait saliver. Je lui crache au dedans plusieurs fois. Il gémit. J’y pénètre mon doigt afin de bien lubrifier. Il sent légèrement.

 

Je rentre plus profondément les doigts. Vais-je pouvoir aller plus loin? Il n’a pas l’air de broncher. J’en mets un quatrième. Il gémit plus fort et se branle en même temps. Je lui caresse les testicules et m’enfonce un peu plus. Puis je me décide enfin. Un petit coup de crachat bien gras, bien liquoreux et lui enfonce doucement la main, et ce jusqu’au poignet. Ma parole! Il est encore plus chienne que moi. Il ne bronche toujours pas, et même plus, il se branle encore plus vite.

 

« Tu aimes ça petite salope? »

– Oui continue!

– Tu as l’habitude apparemment, as-tu du matos? » En effet, il est temps qu’on en vienne à la vitesse supérieure »

 

Je le fiste comme jamais. Il y prend un tel plaisir.

 

« Occupes-toi de mon cul et de ma chatte ».

Mais petite envie accessoire, je dis : « Pisses-moi dans la bouche avant de me prendre! »

Ni une ni deux, il prend son membre d’une poigne ferme. De l’autre main il me tire les cheveux vers l’arrière de façon à ce que je lui présente mon visage. Il m’envoie alors un jet bien chaud et odorant. J’ouvre la bouche pour en avaler une bonne lampée. Après avoir fini (et que je me sois bien « re »salie de l’entre jambes), il passe derrière moi et m’encule intensément, sa poigne sur mes cheveux qu’il tire vers l’arrière. Traitée comme la dernière des trainées, je crie, non… je hurle de plaisir. J’aime tellement être abusée de la sorte par un inconnu. Que c’est bon !

De longs va-et-vient profonds, il se déchaine puis se décide à changer. Il me reprend de nouveau. Il va alternant, passant sa verge de ma chatte à mon cul.

Je l’aspire, regrettant qu’il n’y ait pas un deuxième homme de son acabit avec lui. Je n’aurai pas dit non à une verge chaude supplémentaire. Peut être appellera-t-il un ami, qui sait?

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