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Education Française pour la petite Ying-Ying – Partie 3

Un baiser très intense. Mais il s’échappe. Il me fait pivoter presque violemment, mais juste assez pour que ce soit excitant. Je sens son sexe contre mes fesses, si dur, si gros… un cri m’échappe. Il me caresse le sein d’une main, mon intimité de l’autre. Un liquide coule entre mes jambes. J’ignorais que cela faisait cet effet. Un autre cri sort de ma bouche sans que je puisse m’en empêcher. Il me retourne face à lui, très dominateur, mais j’aime. J’aime son assurance. Il regarde ma poitrine. Puis se met à les embrasser, les lécher, les mordiller. J’en frissonne.

 

Il me fait m’assoir sur ses genoux pour pouvoir continuer plus longtemps et plus confortablement.

 

Cela dure tellement longtemps qu’il finit par me poser la question: « Ying Ying, ta cousine rentre quand? », je lui réponds « quatre heures » avec mes doigts que je pose ensuite sur son pantalon. Je finis par trouver le courage de lui demander si je peux le voir… Il durcit de plus belle à ces mots.

 

« As-tu déjà vu un homme nu? », je réponds non de la tête.

« Veux-tu me voir complètement nu? », « oui », dis-je en le regardant dans les yeux, étonnée moi-même de tant de hardiesse.

 

Il se redresse et attend… Je me lève et commence à déboutonner sa chemise, il me regarde en souriant voyant la difficulté que j’ai à le faire… mes mains tremblent, mais il n’a pas l’air d’être pressé et patiente. Je finis par y arriver. Je vois son torse, sens son odeur, sa peau, sa chaleur. Je me colle à lui pour m’y blottir et sentir son torse contre mon visage. Je lui donne quelques baisers tout en l’explorant de mes mains, son corps est tellement grand… je suis si petite…

 

Je ne peux pas m’empêcher de vouloir explorer plus bas, son pantalon est si renflé… et comme s’il lisait dans mes pensées, il commence à défaire son pantalon, puis à baisser son slip.

 

C’est donc ça! Si dur, si gros…

 

« Tu veux le toucher »? Je n’ose pas tout de suite, j’y vais doucement. Il attend. j’effleure son pénis du bout des doigts, du gland jusqu’à la garde, je remonte au nombril, puis je recommence en sens inverse. Il a l’air d’apprécier, il ferme les yeux. Plusieurs va et vient, puis il me prend la main et pose ma paume sur son sexe. Je l’ai donc en pleine main. Il m’indique le mouvement et la force nécessaire. Je m’applique donc à suivre ses instructions. Levant la tête pour regarder son visage, je suis émerveillée de voir l’effet que cela lui fait… Il a les yeux fermé, la tête légèrement penchée en arrière, le souffle rauque. Je continue le mouvement de va-et-vient jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter brusquement.

 

Je suis interdite. Je lui demande si j’ai fait quelque chose de mal, il me répond avec un éclat de rire : « oh non! bien au contraire, tu te débrouilles un peu trop bien, faisons une pause, je vais m’occuper un peu de toi, assieds-toi ».

 

Je m’exécute. Il enlève complètement son pantalon et son slip, puis s’agenouille en écrasant mes cuisses. Que fait-il? Je suis ridicule dans cette posture. « laisse-toi aller, ne t’inquiète pas », il m’embrasse la cuisse puis remonte jusqu’à l’aine, il écarte mon string et commence à embrasser doucement mon entrecuisse. Il écarte encore plus mon string et commence à sortir sa langue, à chercher mon petit bouton. Une fois encore, un cri s’échappe de moi. Mon string est trempé, il vient à peine de commencer, et même un tâche se dessine sur le canapé…

 

Il finit par enlever mon string et pose mes jambes sur ses épaules. il plonge sa tête, je ne la vois plus. Mais je sens sa langue sur moi, elle dessine de petits cercles avant d’entrer par petits à-coups. A chaque à-coup, un petit cri jaillit en moi, que je ne contrôle pas. C’est tellement bon. J’en convulse de plaisir. Je finis par lui prendre la tête par les cheveux pour qu’il arrête, c’est trop fort. Je n’en peux plus! Il me prend mes (petits) poignets d’une main, les écarte et continue de plus belle. Je me cambre comme jamais. Une chaleur jaillit en moi et j’en hurle d’extase.

 

Je suis en nage, mais tellement bien… il se redresse, se penche vers moi pour m’embrasser, un gout salé sur mes lèvres. J’ai donc ce goût là…

 

Nous continuons un moment, langues entrelacées, mes jambes entourant son torse, mon sexe trempé et ma cyprine chaude coulant goutte à goutte sur son ventre.

 

Puis…

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